Il paraît que c’était un poil boueux.
2 jours après l'épreuve, les muscles toujours douloureux et donc encore un peu dans l'ambiance, je me lance dans le compte-rendu.
Arrivés au parc en milieu de matinée, on redécouvre avec bonheur cette ambiance devenue trop rare l'année dernière. Ça s'installe de tous les côtés, on revoit des têtes connues, on papote et on regarde les brèles des potes, ça fait vraiment du bien !
L’inquiétude des jours précédents concernant la météo s’est envolée, c’est plein soleil et il en sera de même le dimanche, ça s’annonce plutôt bien.
Le camion installé, Dom nous embarque en voiture, direction la SP1, sur le site de la déchetterie.
J’ai roulé ici en 2019 dans des conditions plutôt humides, j’ai des craintes suites aux pluies de cette semaine mais le bourbier du fond du circuit n’a pas l’air trop méchant. Il y a bien quelques passages monotraces dans lesquels il ne faudra pas trouver un mec en travers mais bon, on verra bien.
La SP2, à côté du supermarché, reprend également le site de 2019 et s’annonce plutôt bien, hâte d’y être.
Retour au parc et nouvelles retrouvailles avec les habitués des épreuves, on mange un morceau puis direction l’administratif.
Comme d’hab, j’arrive quand il y a déjà du monde et on poireaute un peu au soleil. Présentation des papiers, récup du t-shirt et du transpondeur, une petite pression pour fêter ça puis direction le contrôle technique.
Particularité, pas de parc fermé, on garde les motos pour la nuit.
Le reste de l’après-midi et de la soirée sera dédié aux relations publiques ???? , puis dodo pas trop tard.
Dimanche, grasse matinée car nous partons après les ligues, départ à 10h22 pour Thomas et moi. Pas de stress, juste un peu d’étonnement au moment d’écrire les temps sur la moto, tiens c’est bizarre, on dirait qu’on ne va pas rouler longtemps…
10h22, coup de kick, première, le minot part devant et s’applique rapidement à semer son vieux père. Allez, c’est pas plus mal, ça me permet de rouler plus égoïstement !
Premier roulage depuis 10 mois, je reprends la mesure du 250 Yam, les sensations reviennent et c’est vraiment bonnard, j’avais presque oublié le bruit (pardon la musique) que faisait la moto !
On entame rapidement des zones de single assez serré, ça glissouille un peu et je me remémore du coup le parcours 2019 qui, après une nuit de pluie, nous avait un peu entamé. Va pas falloir s’enflammer, c’est la première de l’année et c’est pas mes 15 mois de télétravail en calbut qui m’ont maintenu en forme.
En avançant sur la boucle, je compare ma montre avec l’heure du CH et m’étonne de ne pas encore avoir rejoint la spéciale, je me traîne ou quoi ? Ah ben non, tiens, la voilà. Je jette rapidement le sac à dos et prends tout de suite le départ.
Pas de surprise sur la première partie, ça tourne un peu sec dans tous les sens et le 250 n’est pas hyper à l’air avec son angle de chasse d’Electra Glide, mais bon ça roule. Je double 2 KT modernes à l’arrêt, puis une vieille (moto ????), le bourbier du fond est gentil et passe plutôt bien. Arrivé au single en dévers, merde, Denis est en train de tronçonner un arbre avec son Barigo et une moderne est tankée derrière lui ! Je merdoie un peu mais ne me bloque pas et parviens à passer juste au dessus d’eux, sans perdre trop de temps. La partie prairie qui suit est terrible, c’est sec et on peu mettre de l’angle, bonnard mais hélas trop court, j’arrive enfin en sortie de spéciale.
Et là, dans la dernière courbe avant la cellule, j’aperçois Thomas, à l’arrêt…
Je passe juste à côté pour franchir la cellule, pose la moto et reviens en courant. Le minot est arrivé trop large dans le virage et s’est pris une espèce de banderole très épaisse qui lui a bloqué les 2 roues. On essaie de pousser la moto, rien, que dalle, la vache ils sont efficaces ces Michelins Medium !
2 potes du moto club Gironville (merci les gars !) viennent nous prêter main forte et on glisse enfin la moto hors de la spéciale. Thomas est dégouté, on verra plus tard qu’il aura laissé plus de 3 minutes, à 2 mètres de la cellule.
Bon, c’est pas tout, il faut libérer la moto est on perdra 5 bonnes minutes, avec un couteau, avant que l’IT ne puisse rouler. Coup d’œil sur la montre et coup de stress, on pointe dans moins de 10 minutes ! On a beau être à 3 minutes du parc par la route, on ne sait pas trop à quoi s’attendre par les chemins et on part donc avec le couteau entre les dents. Arrivée au parc en catastrophe, ravitaillement express (merci les bidons rapides !), pas le temps de boire, on arrive au CH quelques secondes avant que notre minute ne s’affiche, ouf.
Départ donc pour la deuxième boucle, je laisse partir le minot et prends un peu le temps de gamberger sur ce qui vient de se passer. Je n’avais pas particulièrement glandouillé dans la liaison et peu de gros numéros m’ont doublé, cette boucle était donc vraiment calculée juste et pas mal potes vont probablement y laisser des plumes… Côté physique, l’absence de quart d’heure de repos habituel commence déjà à se faire sentir mais il ne faut pas traîner, des fois que cette seconde boucle soit comme la première.
Je rattrape Thomas qui roule au pas, il m’annonce avoir mal à la cheville (une entorse d’il y a 2/3 mois). Je le connais par cœur, ça sent l’abandon, perte complète de motivation après son épisode malheureux en SP1. Je n’insiste pas, il roulera encore un peu puis finira par la route.
Côté tracé, toujours autant de singles, c’est vraiment pas mal mais pas vraiment reposant.
La SP2 survient à peu près à mi-boucle. Je m’y élance sans perdre de temps mais me loupe juste avant d’entrer dans le sous-bois. Je couche la moto sans caler, je ne perds pas beaucoup de temps sur le coup mais je roule comme une daube sur la partie qui suit et me chope un début de crampe dans les mollets. J’essaie de soigner au maxi les trajectoires, ça va un peu mieux sur la fin de la spéciale et j’en sors en ayant le sentiment d’avoir limité les dégâts. Je récupère mon sac, tire sur le tuyau du camel back, merde, plus de flotte, je n'avais pris qu'un litre.
Je repars sans tarder en maintenant un bon rythme, un œil sur la montre, et ça s’annonce aussi serré que la première boucle. Et ça ne loupe pas, j’arrive au camion 2 minutes avant l’heure, je remplis le réservoir en express et me présente au CH dans ma minute. Pas le temps de prendre de la flotte, je suis seul sur la ligne de départ.
Boucle 3. Je la trouve plus facile que ce matin, ça a dû sécher un peu plus et pas mal de bécanes sont passées entretemps. Je devrais avoir un peu plus de marge qu’au premier tour vu que l’histoire des banderoles ne devrait pas se répéter, mais la fatigue fait que je me traîne sur les parties monotraces. Je vois très peu de motos, les rangs se sont bien éclaircis et j’atteins finalement la SP1 en ayant brûlé ce joker. La spéciale est quasiment vide, pas de souci particulier si ce n’est une crampe à main droite qui m’oblige à baisser le rythme le temps que ça passe. Sortie de SP, pas de temps à perdre, gaz dans les chemins et arrivée au parc avec 4 minutes d’avance. Thomas est là et me fait le plein pendant que j’enlève le casque pour boire un coup et avaler une banane, le luxe ultime ! Puis direction le CH pour la dernière boucle.
Honnêtement, on ne peut pas dire que je me régale mais je tiens à finir, je me dis que le plus dur est fait. Ma fatigue s’est stabilisée et je me présente plus sereinement à l'entrée de la dernière spéciale. En attendant que le drapeau ne se baisse, j’entends des coups de gaz rageurs derrière moi. Dominique est là, il tente de me mettre la pression et je devine son sourire sous son casque… On verra !
Je pars le couteau entre les dents, il y a du grip et je prends du plaisir. J’arrive à placer la moto à peu près comme je veux, le corps tient le coup et ce sera ma meilleure spéciale de la journée. Merci Dom !
Bon, le job est fait, y’a plus qu’à rentrer sans prendre de pions, ce serait con. J’arriverai avec un peu plus de 5 minutes de marge, mission accomplie mais honnêtement, je suis plus fatigué qu’après 3 jours de course à Brioude l’an passé. Faut vraiment que je me mette au sport…
On remballe les motos, on boit une bière et on lève le camp sans trop tarder, ce n’est pas l’envie d’aller prendre les impressions des potes qui manque mais 8 heures de route nous attendent, faut être raisonnable.
Aujourd’hui mardi, certains muscles endoloris me rappellent encore la course. Je roule depuis 2009 et je ne me souviens pas avoir déjà couru avec des temps aussi serrés, plus de la moitié des pilotes ont pris des pénalités et on note 46 abandons pour 71 classés. C’est vrai que ça change la donne et que je me vois mal rouler de la sorte sur tout le championnat, mais je suis assez content de l’avoir fait et j’ai le sentiment qu’on s’en souviendra pendant un moment ! Je n’ose pas imaginer la même épreuve sous la flotte, j’aurais probablement été hors temps au premier CH.
Bravo au club pour l’organisation, j’ai trouvé que le fléchage était bon, il y avait bien quelques flèches par terre mais bon, on ne peut pas mettre des gens partout.
Moto(s) : Yam 80, 125, 175, 250, 400
Il a la gnac, le Boss ! Chapeau, Laurent. Et merci pour ce CR très vivant 
Je ne crois pas à une vie après la mort, mais j'emporterai quand même un caleçon de rechange... (W. Allen)Moto(s) : Nennapu !
MERCI Lolo 
OFF-ROAD RIDE or dieMoto(s) : japs only
Bravo! Rien que de te lire, je suis déjà fatigué ! Trop vieux ? 
Merci pour le CR
L'atelier de gégé 83
http://mon-site-83.e-monsite.com/Moto(s) : /KTM 50 GS/ZUNDAPP 50 GS/ 50 FANTIC MOTOR RC 1976/125 Gilera regolarita competizione 1974
Bravo! Rien que de te lire, je suis déjà fatigué ! Trop vieux ?
Je le pense je t'ais pas trouvé très performant a L'Hommaizé
P'tetre avec une Electricos t'aurais été meilleur 
Moto(s) : Une M Isque 6
2 jours après l'épreuve, les muscles toujours douloureux et donc encore un peu dans l'ambiance, je me lance dans le compte-rendu.
Arrivés au parc en milieu de matinée, on redécouvre avec bonheur cette ambiance devenue trop rare l'année dernière. Ça s'installe de tous les côtés, on revoit des têtes connues, on papote et on regarde les brèles des potes, ça fait vraiment du bien !
L’inquiétude des jours précédents concernant la météo s’est envolée, c’est plein soleil et il en sera de même le dimanche, ça s’annonce plutôt bien.
Le camion installé, Dom nous embarque en voiture, direction la SP1, sur le site de la déchetterie.
J’ai roulé ici en 2019 dans des conditions plutôt humides, j’ai des craintes suites aux pluies de cette semaine mais le bourbier du fond du circuit n’a pas l’air trop méchant. Il y a bien quelques passages monotraces dans lesquels il ne faudra pas trouver un mec en travers mais bon, on verra bien.
La SP2, à côté du supermarché, reprend également le site de 2019 et s’annonce plutôt bien, hâte d’y être.
Retour au parc et nouvelles retrouvailles avec les habitués des épreuves, on mange un morceau puis direction l’administratif.
Comme d’hab, j’arrive quand il y a déjà du monde et on poireaute un peu au soleil. Présentation des papiers, récup du t-shirt et du transpondeur, une petite pression pour fêter ça puis direction le contrôle technique.
Particularité, pas de parc fermé, on garde les motos pour la nuit.
Le reste de l’après-midi et de la soirée sera dédié aux relations publiques ???? , puis dodo pas trop tard.
Dimanche, grasse matinée car nous partons après les ligues, départ à 10h22 pour Thomas et moi. Pas de stress, juste un peu d’étonnement au moment d’écrire les temps sur la moto, tiens c’est bizarre, on dirait qu’on ne va pas rouler longtemps…
10h22, coup de kick, première, le minot part devant et s’applique rapidement à semer son vieux père. Allez, c’est pas plus mal, ça me permet de rouler plus égoïstement !
Premier roulage depuis 10 mois, je reprends la mesure du 250 Yam, les sensations reviennent et c’est vraiment bonnard, j’avais presque oublié le bruit (pardon la musique) que faisait la moto !
On entame rapidement des zones de single assez serré, ça glissouille un peu et je me remémore du coup le parcours 2019 qui, après une nuit de pluie, nous avait un peu entamé. Va pas falloir s’enflammer, c’est la première de l’année et c’est pas mes 15 mois de télétravail en calbut qui m’ont maintenu en forme.
En avançant sur la boucle, je compare ma montre avec l’heure du CH et m’étonne de ne pas encore avoir rejoint la spéciale, je me traîne ou quoi ? Ah ben non, tiens, la voilà. Je jette rapidement le sac à dos et prends tout de suite le départ.
Pas de surprise sur la première partie, ça tourne un peu sec dans tous les sens et le 250 n’est pas hyper à l’air avec son angle de chasse d’Electra Glide, mais bon ça roule. Je double 2 KT modernes à l’arrêt, puis une vieille (moto ????), le bourbier du fond est gentil et passe plutôt bien. Arrivé au single en dévers, merde, Denis est en train de tronçonner un arbre avec son Barigo et une moderne est tankée derrière lui ! Je merdoie un peu mais ne me bloque pas et parviens à passer juste au dessus d’eux, sans perdre trop de temps. La partie prairie qui suit est terrible, c’est sec et on peu mettre de l’angle, bonnard mais hélas trop court, j’arrive enfin en sortie de spéciale.
Et là, dans la dernière courbe avant la cellule, j’aperçois Thomas, à l’arrêt…
Je passe juste à côté pour franchir la cellule, pose la moto et reviens en courant. Le minot est arrivé trop large dans le virage et s’est pris une espèce de banderole très épaisse qui lui a bloqué les 2 roues. On essaie de pousser la moto, rien, que dalle, la vache ils sont efficaces ces Michelins Medium !
2 potes du moto club Gironville (merci les gars !) viennent nous prêter main forte et on glisse enfin la moto hors de la spéciale. Thomas est dégouté, on verra plus tard qu’il aura laissé plus de 3 minutes, à 2 mètres de la cellule.
Bon, c’est pas tout, il faut libérer la moto est on perdra 5 bonnes minutes, avec un couteau, avant que l’IT ne puisse rouler. Coup d’œil sur la montre et coup de stress, on pointe dans moins de 10 minutes ! On a beau être à 3 minutes du parc par la route, on ne sait pas trop à quoi s’attendre par les chemins et on part donc avec le couteau entre les dents. Arrivée au parc en catastrophe, ravitaillement express (merci les bidons rapides !), pas le temps de boire, on arrive au CH quelques secondes avant que notre minute ne s’affiche, ouf.
Départ donc pour la deuxième boucle, je laisse partir le minot et prends un peu le temps de gamberger sur ce qui vient de se passer. Je n’avais pas particulièrement glandouillé dans la liaison et peu de gros numéros m’ont doublé, cette boucle était donc vraiment calculée juste et pas mal potes vont probablement y laisser des plumes… Côté physique, l’absence de quart d’heure de repos habituel commence déjà à se faire sentir mais il ne faut pas traîner, des fois que cette seconde boucle soit comme la première.
Je rattrape Thomas qui roule au pas, il m’annonce avoir mal à la cheville (une entorse d’il y a 2/3 mois). Je le connais par cœur, ça sent l’abandon, perte complète de motivation après son épisode malheureux en SP1. Je n’insiste pas, il roulera encore un peu puis finira par la route.
Côté tracé, toujours autant de singles, c’est vraiment pas mal mais pas vraiment reposant.
La SP2 survient à peu près à mi-boucle. Je m’y élance sans perdre de temps mais me loupe juste avant d’entrer dans le sous-bois. Je couche la moto sans caler, je ne perds pas beaucoup de temps sur le coup mais je roule comme une daube sur la partie qui suit et me chope un début de crampe dans les mollets. J’essaie de soigner au maxi les trajectoires, ça va un peu mieux sur la fin de la spéciale et j’en sors en ayant le sentiment d’avoir limité les dégâts. Je récupère mon sac, tire sur le tuyau du camel back, merde, plus de flotte, je n'avais pris qu'un litre.
Je repars sans tarder en maintenant un bon rythme, un œil sur la montre, et ça s’annonce aussi serré que la première boucle. Et ça ne loupe pas, j’arrive au camion 2 minutes avant l’heure, je remplis le réservoir en express et me présente au CH dans ma minute. Pas le temps de prendre de la flotte, je suis seul sur la ligne de départ.
Boucle 3. Je la trouve plus facile que ce matin, ça a dû sécher un peu plus et pas mal de bécanes sont passées entretemps. Je devrais avoir un peu plus de marge qu’au premier tour vu que l’histoire des banderoles ne devrait pas se répéter, mais la fatigue fait que je me traîne sur les parties monotraces. Je vois très peu de motos, les rangs se sont bien éclaircis et j’atteins finalement la SP1 en ayant brûlé ce joker. La spéciale est quasiment vide, pas de souci particulier si ce n’est une crampe à main droite qui m’oblige à baisser le rythme le temps que ça passe. Sortie de SP, pas de temps à perdre, gaz dans les chemins et arrivée au parc avec 4 minutes d’avance. Thomas est là et me fait le plein pendant que j’enlève le casque pour boire un coup et avaler une banane, le luxe ultime ! Puis direction le CH pour la dernière boucle.
Honnêtement, on ne peut pas dire que je me régale mais je tiens à finir, je me dis que le plus dur est fait. Ma fatigue s’est stabilisée et je me présente plus sereinement à l'entrée de la dernière spéciale. En attendant que le drapeau ne se baisse, j’entends des coups de gaz rageurs derrière moi. Dominique est là, il tente de me mettre la pression et je devine son sourire sous son casque… On verra !
Je pars le couteau entre les dents, il y a du grip et je prends du plaisir. J’arrive à placer la moto à peu près comme je veux, le corps tient le coup et ce sera ma meilleure spéciale de la journée. Merci Dom !
Bon, le job est fait, y’a plus qu’à rentrer sans prendre de pions, ce serait con. J’arriverai avec un peu plus de 5 minutes de marge, mission accomplie mais honnêtement, je suis plus fatigué qu’après 3 jours de course à Brioude l’an passé. Faut vraiment que je me mette au sport…
On remballe les motos, on boit une bière et on lève le camp sans trop tarder, ce n’est pas l’envie d’aller prendre les impressions des potes qui manque mais 8 heures de route nous attendent, faut être raisonnable.
Aujourd’hui mardi, certains muscles endoloris me rappellent encore la course. Je roule depuis 2009 et je ne me souviens pas avoir déjà couru avec des temps aussi serrés, plus de la moitié des pilotes ont pris des pénalités et on note 46 abandons pour 71 classés. C’est vrai que ça change la donne et que je me vois mal rouler de la sorte sur tout le championnat, mais je suis assez content de l’avoir fait et j’ai le sentiment qu’on s’en souviendra pendant un moment ! Je n’ose pas imaginer la même épreuve sous la flotte, j’aurais probablement été hors temps au premier CH.
Bravo au club pour l’organisation, j’ai trouvé que le fléchage était bon, il y avait bien quelques flèches par terre mais bon, on ne peut pas mettre des gens partout.
Hello Laurent,
Je suis content de t'avoir mis la pression, du coup tu a fais un super temps !! Encore bravo.
À bientôt
DominiqueDDB
Moto(s) : 250 SHERCO
Un arbre à IT, samedi soir dans le parc 
Vues de la SP1
Moto(s) : Yam 80, 125, 175, 250, 400
super CR . merci .
Bonjour à tous,
cette reprise a été difficile pour beaucoup en effet. Conjonction de plusieurs faits probablement : reprise après une longue période sans entrainement moto (ou peu), premières chaleurs, liaison avec beaucoup de monotrace et temps très serrés de l'avis de (presque) tous les participants. Mais le plaisir de se retrouver, sous un beau soleil, a pris le dessus !
Voici quelques photos supplémentaires : photos.app.goo.gl/5f6XKG9x39GtXfkb7
Belles photos !
Je ne crois pas à une vie après la mort, mais j'emporterai quand même un caleçon de rechange... (W. Allen)Moto(s) : Nennapu !
Bonjour à tous,
cette reprise a été difficile pour beaucoup en effet. Conjonction de plusieurs faits probablement : reprise après une longue période sans entrainement moto (ou peu), premières chaleurs, liaison avec beaucoup de monotrace et temps très serrés de l'avis de (presque) tous les participants. Mais le plaisir de se retrouver, sous un beau soleil, a pris le dessus !
Voici quelques photos supplémentaires : photos.app.goo.gl/5f6XKG9x39GtXfkb7
Un grand merci à Corinne et à Didier, la qualité et la quantité des photos est top, nous sommes gâtes, encore merci à vous
Moto(s) : OSSA-Yamaha
Merci Didier !
Moto(s) : Yam 80, 125, 175, 250, 400
Pour une reprise ,on a été gâté , c'est vrai que les temps étais un peut chaud , a mon avis il on oublié d'intégré les temps des SP au liaison 
Roulé après les modernes c'est usant , ca creuse bien , C'etais usant ,pas dur ,Et fallait pas ce trompé dans le parcourt moderne /anciennes , je croit que tout le monde a eu droit a sont erreur . mais bon ca fait du bien de roulé et voir les copain
vaut mieux être saoul que con ca dure moins longtempsMoto(s) : yzmx79 /300 sherco /175 it 80/ 175 it 81
