Bonne idée mais pour ça il faudrait un vrai contrôle de conformité des motos. Là c'était un peu facile de ne pas être en conformité.
Passer un modèle identique en C2 ou C3 était monnaie courante ....
Moto(s) : Fantic 80RC AIM 80 ZE2 Suzuki 80 RME
J'ai vu quelques cross, avec carte grise....
Ça passe sans problème en conformité !?
Non. Aucune à Brioude.
pour le cross , j'avais le bras droit un peu bloqué , et j'ai voulu démarrer a la Philo.....mais seulement un poil en arriere.... cet andouille de commissaire (pas de Brioude ) a tenu a ce que je touche la grille , ça m'a fait percuter la grille , embrayage collé quand le gars d'a coté a noyé sa moto , et tout le processus a du recommencer....
pas étonnant avec des tatillons-rigides pareil que ça a trainé alors qu'on se gelait et s'asphixait avec tous les gars qui attendaient moteiur tournant.... du coup , je ne tenais plus la bécane dans ce merdier...
et le deuxieme sous traitant qui a bien déconné avec les classement ..........., le dimanche n'a pas été réussi...mais le MCB a été a la hauteur....c'est l'essentiel...
PS : rever pour les 50 ans , bel optimisme !!!
Moto(s) : monark
J'ai vu quelques cross, avec carte grise....
Ça passe sans problème en conformité !?
Comme toi j'ai bien vu des cross endurisées d'époque (pratique courante et sans critique de ma part ,et certainement avant que certains viennent à la charge ) qui ont leur place sur une telle épreuve; mais qui restent des cross transformées .Je penses aux deux 125 kx dont une devait être celle de Magnaldi ..et j'oublie volontairement les CR qui rentrent aussi dans cette catégorie et qui ont de la sorte ,diversifiés le plateau .
Moto(s) : ktm 82/83/86/89/kdx250/exc250 07 exc 300 6D13 125 exc 09 maico 250 gme 86 X 2,250 gp92
bonsoir pour LPZ 13 effectivement des kx HOMOLOGUER oui , mai a ( MONACO ) j espere que tu a fait attention a la plaque , quand au CR pour ceux que j ai controler homologation ( honda france ) a titre isoler .
Bonjour à tous
Je voulais remercier tous les bénévoles du mcb pour ce superbe enduro
Le jour 1 et 3 étaient juste magiques
Le jour 2 était parfait pour souffler un peu
Que dire de plus:un énorme merci
le jaune plus qu une couleur un etat d esprit
En orange et noire j irai plus haut que ces montagnes de douleur(Jeanne mas)
Forza CAGIVAMoto(s) : Cagiva
103 ans | 51 messages | 1 image
103 ans | 51 | 1 image
Bonjour du jour.
Il y a cross "endurisée" soit une motocross avec une CG pour faire genre; et cross endurisée avec béquille, arrière de cadre, pot, allumage, moteur, voir étagement de boite adapté.
Dans les 80', la plupart des motos étaient des cross endurisées, ou éventuellement des enduro crossisées suivant si le fabriquant était italien, teuton suédois, etc...
C'est surtout toute fin 80' /début 90' que tout le monde voulait rouler en 250 jap de cross pseudo endurisée alors qu'il n'y avait pas dix mec en France capable de souder avec ces avions. Ca s'empilait bien dans les arbres en spéciale en ligne :-)
Mon avis qui n'engage que moi mais que je partage amplement.
Salut,
Difficile ce matin de se concentrer sur le boulot après cette semaine folle ! Bilan très positif pour ma part, le "petit" et moi sommes à l'arrivée sans bobos et le team formé avec Sylvain "Papy" a dignement représenté le GV.
Je vais tâcher de retracer ces 3 jours tant que c'est encore à peu près frais dans mon esprit.
Jeudi 24/09, on se jette dans le grand bain, on y est enfin après plusieurs mois de projections, je sors la moto du parc fermé, départ à 10h33 pour une mise en jambe de 23 km avant la spéciale de Verneuges.
On aura tous droit à notre petite photo, bonne idée car l’ensemble moto/pilote est encore rutilant !
Premier chemin, ça fait du bien de rouler enfin après ces mois de diète forcée. L’envie de se faire plaisir et de tracer des virgules sur la piste est forte mais je m’efforce d’appliquer les consignes laissées au petit, la course est longue et il ne faudra pas se cramer dès le premier jour. Tu parles, je loupe une flèche et, au lieu de faire demi-tour, je me dis que ça doit passer en coupant… Je vois bien un petit tronc couché et quelques branches, mais j’oublie qu’on est à Brioude. L’avant passe le tronc, branches dans la tronche, moto bloquée, je mets une minute à me sortir de là en forçant comme un goret. 15 mn de roulage et je suis déjà dans le rouge ! Bon, ça me servira bien de leçon car je ne retenterai plus rien du genre pour le reste de la semaine.
Arrivé au CH, je découvre l’assistance mise en place par le moto-club Gironville 77 qui nous accueillera jusqu’au samedi. C’est du 5 étoiles, boissons, fruits, petits sandwiches, bonbons, c’est impressionnant !
Je me lance enfin dans cette spéciale qu’il a fallu reconnaitre dans les 2 sens, le grip est plutôt bon, la moto marche à merveille et je me fais vraiment plaisir. Je remonte 4 pilotes (en roulant sur l’un d’entre eux, on en a rigolé ensemble un peu plus tard) et sors avec un correct 6’40 qui me place dans les 60 (on est encore 439 à ce moment), et surtout 9 secondes devant Thomas… ça se présente bien !
La liaison qui suit est superbe, ça secoue pas mal et j’ai une pensée émue pour les collègues qui subissent ça avec moins de 20 cm de débattement, chapeau les gars ! Le tracé est un régal, surtout ne pas s’enflammer et en garder sous la poignée, faut tenir la semaine.
Je me traîne une douleur au genou gauche depuis 3 semaines, sans trop savoir comment je me suis fait ça, ça me fait une espèce de pointe lorsque je pèse dessus. Depuis le matin, je fais donc gaffe de ne pas être obligé de sortir la guibolle en catastrophe. Dans une descente, je perds l’avant dans une espèce de petit goulet et je couche la moto côté gauche, évidemment, en accrochant le pied et en le retournant. En repartant, la douleur s’est bien amplifiée mais, surprise, elle disparaît totalement au bout de quelques minutes, avec celle qui me suivait depuis le début du mois… Va comprendre.
On finit par revenir sur la spéciale de Verneuges, je donne tout mais des espèces de crampes à 2 doigts de chaque main surviennent dès le premier freinage, j’ai du mal à tenir le guidon comme je le voudrais et je dois rendre la main. Je tombe en tentant de dépasser un collègue, sans caler heureusement, et je ne m’en sors finalement pas trop mal car je suis toujours devant Thomas (de 38 centièmes !) au cumul des 2 SP.
Redescente vers Brioude en direction de la spéciale EREA. Lorsqu’elle est sèche, ce qui sera le cas, elle est plutôt sympa et il doit y avoir moyen de s’amuser. Je m’élance, le grip est excellent et effectivement, je me régale. J’arrive sur une cuvette monotrace et un commissaire surgit, une moto est en difficulté et il m’envoie dans la déviation. Pas le choix, demi-tour, je me jette dans cette partie qui nous a tous laissés dubitatifs lors des repérages car elle est particulièrement longue en regard de la difficulté à contourner. Au bout de 2 virages, plus de banderole ! Je crois prendre la bonne trace mais me retrouve vite entre 2 couloirs, nouveau demi-tour, analyse du truc, je trouve finalement le chemin et repart le couteau entre les dents. Thomas me collera 42 secondes, il est généralement un peu plus vite que moi sur ce type de spéciale et j'ai donc perdu dans l'histoire plus de trente secondes qui couteront cher en fin de semaine.
Je n’avais jamais fait de test d’accélération avant Brioude. C’est finalement plutôt rigolo, il faut juste éviter de se louper car on a un coefficient de 5 qui y est appliqué. Pas grand-chose à dire de plus…
Bilan de la première journée assez positif, Thomas est 80ème au général et 4eme dans sa catégorie (ils sont 10), je suis à 9 secondes derrière lui (90ème) et second de ma classe sur 38 pilotes ! Le premier semble avionner sur un superbe 250 RM 78, je suis à 57 secondes.
Le team GuideVert est quand à lui bien placé au classement des équipes de marque, Sylvain « Papy » est 130 au scratch nous sommes classés second sur 26 équipes !
On graisse les chaines et fait les pleins, les motos vont bien, on les rentre au parc et on s’occupe un peu de nous. Je suis quand-même un peu inquiet, on est pas mal entamé par le parcours du jour et je ne suis pas certain de tenir les 3 jours comme ça. Il paraît que le jour 2 est plus roulant, ce serait plutôt pas mal !
Jour 2, on prend le départ à la même heure qu’hier, et les motos sont un peu moins propres.
Il a plus dans la nuit (qui a dit : encore ?) et la SP EREA dans laquelle on démarre est une vraie patinoire. La boue, c’est vraiment pas mon truc, je fais un 360° à l’endroit où sont massés la majorité des spectateurs et pose le guidon. Vite relevé, je termine sans gloire 20 secondes derrière le petit.
La liaison du jour vers Champagnac est effectivement moins cassante que la veille, on est unanimes. Le tracé est vraiment magnifique et je me régale. La moto tourne parfaitement et pousse régulièrement des petits coups de gaz de joie, tout va bien !
L’assistance est toujours irréprochable, je profite des ces arrêts pour demander des nouvelles du petit car, avec une vingtaine de minutes d’écart au départ du matin, on ne s’aperçoit brièvement que sur un CH ou 2. Tout va bien pour lui aussi, merci Monsieur Yamaha.
J’arrive sur la spéciale en ligne avec un peu d’appréhension, je ne l’ai pas reconnue car persuadé d’avoir lu dans le règlement qu’elle n’était pas chronométrée au premier passage. Ben, finalement, si… Les potes nous ont briefé la veille, on fera avec leurs infos.
Elle est effectivement très rapide et la première partie n’est pas particulièrement piégeuse. Je reviens rapidement sur le collègue parti avant moi, qui a lui-même rattrapé au même moment un autre pilote. Impossible de doubler sans prendre trop de risques, on roule un moment roue dans roue puis le chemin s’élargit, les collègues me laissent passer, merci !!
Je ne suis généralement pas trop adepte des lignes, pas très rassuré de rouler vite si près des arbres, mais là, franchement, j’ai pris un pied monstrueux. Le bloc du Yam balance ses chevaux, j’arrive à prendre mes appuis comme je veux, je passe la cellule d’arrivée dans un état d’euphorie, c’est magique !
Thomas m’expliquera un peu plus tard avoir merdé quelque peu, il y avait aux 2 tiers du parcours un virage serré avec des bottes de paille qu’il a pris pour la sortie de la spéciale. Il a donc coupé les gaz et fait demi-tour tranquillement avant de réaliser qu’il fallait encore en mettre une couche. Il n’est visiblement pas le seul à s’être trompé, le Canari et d’autres ont commis la même erreur. Coup de bol pour moi, j’étais à l’aspi derrière les 2 pilotes pour ce passage-là, je ne me suis donc même pas posé la question.
A la boucle suivante, le second passage dans la ligne sera du même tonneau. Je rattrape le pilote parti devant qui a la gentillesse de s’écarter et ferai donc la montée seul. Je pousse un cri à l’arrivée, une sorte de trop-plein de bonheur.
A la redescente sur Brioude, la spéciale de l’EREA a séché et les chronos sont plus sympas que le matin ! Thomas et moi sommes respectivement 103e et 99e, je lui prends 1,2 secondes sur plus de 21 minutes de chronos. Serrée l’affaire ! Côté classement de la journée, nous sommes tous deux seconds de nos catégories. Sylvain a bien roulé mais a écopé de 7 minutes de pénalités suite à un sabotage de fléchage en redescendant sur Brioude… Le team est alors classé 8eme sur 40.
Les motos sont toujours OK, on s’occupe des chaînes et retour au parc fermé.
Jour 3, redouté par nombre d’entre-nous car nous savons que nous allons devoir remonter les descentes de l’avant-veille. Finalement, des aménagements feront que la journée sera moins physique que le jeudi, à moins qu’on ne s’y soit habitués entretemps !
Roberto et moi commençons une guerre psychologique… Le pilote en 250 RM a hélas serré son bloc dans la spéciale en ligne et je suis donc passé en tête du 250 pré-78 ! Nous sommes séparés d’une dizaine de secondes et la journée promet d’être décisive. Vu que nous bénéficions de la même super assistance et que nos numéros sont proches, on aura de nombreuses occasions de se se chambrer toute la journée et compterons les points en sortie de chaque spéciale.
Départ donc direction Verneuges pour une spéciale inversée. Le sens ne sera finalement pas gênant, c’est plutôt les intempéries qui corsent l’affaire. Ça patine à tout va et il est primordial de ne pas aller à la faute pour tenter de préserver les classements !
Roberto me reprend 1,5 seconde, Thomas a un peu galéré et je le mets à l’amende de 30 secondes. Non mais.
Les liaisons sont toujours aussi plaisantes, bien qu’on prenne un peu la flotte. A force de voir les mêmes têtes au CH, on commence à bien discuter avec les autres pilotes. 3 jours de roulage, ça rapproche ! On prend du plaisir à se rattraper les uns les autres et rouler ensemble à un rythme parfois assez soutenu. Oui, je sais, c’est pas bien, faut s’économiser, mais là on est tous des gosses avec des jouets plutôt sympas sur un terrain de jeu fantastique, comment résister ?
Retour à Verneuges pour le dernier passage, la piste a séché depuis ce matin et on retrouve du grip. Pas de grosse erreur, j’en sors 8 centièmes avant Roberto.
Le dernier passage en SP EREA se fera juste après une averse, pas glop. Ça patine dans tous le sens et ce n’est toujours pas mon truc. Roberto m’attend à la sortie, face à l’horloge, il m’a pris 4 secondes et finit la journée 5s devant moi sur 20 minutes de chronos.
Thomas n’est pas mon fils pour rien, il n’aime pas la boue non plus et me concède 1mn16s aujourd’hui. Je sens que je vois pouvoir rentrer triomphalement à la maison.
Sylvain a hélas eu un souci d’allumage aujourd’hui et n’a pas pu terminer la journée, le team GuideVert se classera tout de même 9eme sur 35 et n’a pas à rougir !
Jour 4, Cross final.
La nuit a été rythmée par le bruit de la pluie sur le toit du camping-car, c’est pas bon signe car le terrain du cross final est du même type que celui de la spéciale EREA… Je ne sais pas si je vous l’ai dit, mais je n’aime pas la boue !
L’ambiance est différente ce matin pour les sorties du parc fermé devant la mairie, un peu une atmosphère de fin de vacances. J’y retrouve Roberto qui me montre 7 doigts, soit le nombre de secondes qui nous séparent encore ce matin. Je regarde partir Thomas et vais chercher l’IT, puis nous traversons les rues de Brioude jusqu’au circuit.
Les départs se font par vagues de 20, on a donc le temps d’assister à au moins 2 manches avant de rouler nous-mêmes, et je sais déjà que ça va être très compliqué ! Ce tracé aurait été exceptionnel sur le sec, mais il y a aujourd’hui du pilote en perdition dans tous les sens. Je vois partir Thomas, il se fait repeindre dès les premiers virages mais finit dans la première moitié… mouais.
Je ne suis hélas pas dans le groupe de Roberto, mais au tout début du suivant. Je suis donc sa course, il est solide et il finit mid-pack sans grosse erreur. C’est notre tour, je m’élance en premier sur le tour de reconnaissance pour éviter de me faire repeindre avant même de prendre place derrière la grille de départ.
La vache, je vous ai déjà dit que je n’aimais pas la boue ? Impossible de dépasser la mi-course de la poignée de gaz, il y a des dizaines de traces dans tous les sens mais la roue avant prend celle qu’elle veut, c’est l’enfer. La partie extérieure de la ligne de départ semble un peu moins pourrie que les autres, je m’y installe.
Allez, comme dans les manuels, on regarde la grille en biais pour mieux percevoir le moment de sa chute et gaz ! Sauf que là, ça patiiiiiiiine, je reste une seconde sur place avant de décoller mais les autres ont déjà une longueur ou deux d’avance, je me prends 2 ou 3 pelles de boue dans la tronche et c’est le black out, j’ai l’impression que mon casque fait 10 kilos.
2 virages plus loin, j’arrache les lunettes et les lance derrière la banderole, on verra plus tard. Je vis un sale moment et commence à être dans le rouge dès le second tour, les quelques sauts qui paraissaient si sympas lors des recos sont juste imprenables par manque de vitesse et je retombe systématiquement sur la roue avant, à la limite permanente des la gamelle. Surtout ne pas tomber, pas sûr d’avoir la force de relever l’IT.
Je termine à l’agonie, vraiment frustré car j’ai été incapable de prendre une seconde de plaisir sur la manche. Thomas et Roberto m’attendent, on est couverts de boue, pas de chronos affichés mais je sens que c’est mal barré ! On saura plus tard que Thomas est sorti en 8’08, Roberto en 8’24 et ma pomme en 8’41.
Au-delà de la course en elle-même, cette semaine aura été particulièrement riche en contacts humains et en nouvelles rencontres, malgré les parcs disséminés. Je tiens vraiment à remercier le moto-club de Gironville pour leur accueil et la qualité de leur assistance, vous étiez au top !
Un grand merci également à Gilles JANVIER pour les reportages photos postés sur le site au fil de l’eau, c’était vraiment cool car même nous n’avons pas pu capter tous ces moments.
Le dernier merci, évidemment, est pour le moto-club de BRIOUDE. Vous avez vraiment fait très fort, bravo !
Moto(s) : Yam 80, 125, 175, 250, 400
En 1986, J'ai roulé avec le chainon manquant:
Une 125 CR immatriculée à .... Monaco
Moto(s) : Fantic 80RC AIM 80 ZE2 Suzuki 80 RME
bonsoir pour LPZ 13 effectivement des kx HOMOLOGUER oui , mai a ( MONACO ) j espere que tu a fait attention a la plaque , quand au CR pour ceux que j ai controler homologation ( honda france ) a titre isoler .
C'est quand le 1er enduro de Monaco?
J'ai commencé la moto en poussant une roue à l'aide d'un bâton et en faisant Vroumvroum avec ma bouche.
Il faisait Wizzz quand il roulait et Paf quand il tombait!
Toujours limité, jamais régalé !
Pavillon de complaisance bien qu'on en ai eu quelques unes chez nous à l'époque .Par contre ne voir que des Cr honda -france ,c'est presque un exploit ,vu le nombre restreint d'unité à l'époque ....
Moto(s) : ktm 82/83/86/89/kdx250/exc250 07 exc 300 6D13 125 exc 09 maico 250 gme 86 X 2,250 gp92
Pour finir le HS il faut juste se rappeler que seul Honda a proposé des BV avec rapports spéçifiques pour enduriser(HRC et certainement pas dispo pour tout le monde en dehors des offiçiels ) ,toutes les autres n'étant que des cross +/- préparé pour la discipline ....On se souvient tous des parcs coureurs, presque exclusivement japonais, entre la fin 80 et le début des 90 donc quoi de plus normal que de les voir ressortir à présent ....
Moto(s) : ktm 82/83/86/89/kdx250/exc250 07 exc 300 6D13 125 exc 09 maico 250 gme 86 X 2,250 gp92
bravo laurent et ton equipe je suis tres content que tu et pu aller au bout de ces 5 jours de moto cette IT te va a merveille me semble t il !!! je n ai que des bon souvenirs sur cette machine
bravo encore
Moto(s) : ?????????????????
C'est un beau récit, bravo à vous .
J'ai commencé la moto en poussant une roue à l'aide d'un bâton et en faisant Vroumvroum avec ma bouche.
Il faisait Wizzz quand il roulait et Paf quand il tombait!
Toujours limité, jamais régalé !
Oui, sympa le C.R. Laurent Et bravo à vous Beau podium avec Roberto et Daniel T, toujours là !
Je ne crois pas à une vie après la mort, mais j'emporterai quand même un caleçon de rechange... (W. Allen)Moto(s) : Nennapu !